Vanden Bussche est une référence dans le monde de la construction industrielle. Il n’est certes pas le plus grand, mais avec une cinquantaine de salariés propres et au moins autant de sous-traitants sur le terrain chaque jour, on ne peut plus le considérer comme un petit acteur. L’entreprise existe depuis plus de quarante ans. Son parc de véhicules bien équipés constitue un des piliers de sa réussite. « Chez nous, les machines doivent toujours être opérationnelles. »
Paul Vanden Bussche nous explique que l’entreprise basée à Furnes est dirigée par lui-même et par son frère Frank, de trois ans son aîné. « Aujourd’hui, son fils Laurens et mon fils Olivier sont eux aussi entrés dans la boîte. Nous sommes actifs depuis quarante ans et avons connus une jolie croissance. Pour cela, disposer d’un parc de véhicules bien équipés est essentiel. » Les nacelles et le chariot télescopique rotatif utilisés par l’entreprise sont des Manitou. « Il y a vingt ans, les nacelles proposées par Manitou n’étaient pas encore au point. Les commandes n’étaient pas efficaces et les arrêts étaient nombreux. Nous nous étions dès lors tournés vers d’autres constructeurs. Quelques années plus tard, nous avons malgré tout décidé d’acheter un 200 ATJ en entendant qu’elle avait fait des progrès. Le son de cloche était d’ailleurs le même du côté du secteur de la location. Ces informations se sont révélées exactes, et nous avons depuis lors acheté huit machines chez Manitou. » Vanden Bussche dispose désormais d’un 200 ATJ, de quatre 160 ATJ et de deux 180 ATJ. Sans compter un télescopique rotatif MRT 2150 P+.
Ne pas sous-estimer l’importance du service
Olivier et Paul se montrent très satisfaits de ces engins. « Ils sont toujours opérationnels, il y a peu de pannes et peu d’immobilisations. Quant aux mouvements, ils sont conviviaux et simples. Mais ils restent des engins des chantier, et un pépin peut toujours survenir. Heureusement, le service de notre concessionnaire est à la hauteur, dans tout le pays. Le service est important pour les entreprises comme les nôtres, car nos machines doivent toujours être opérationnelles. Il nous arrive souvent de louer des engins supplémentaires. Ici aussi, la marque Manitou a notre préférence. L’entreprise construit essentiellement des bâtiments industriels. « En fait, nous offrons un package total. Nous commençons au sol et, si le client le souhaite, nous faisons tout, jusqu’à la peinture des murs intérieurs. Auparavant, nous faisions tout avec des grues télescopiques. Mais c’est vraiment une débauche de moyens pour poser par exemple des panneaux sandwich. Il est bien plus rentable d’utiliser une machine plus légère, qui consomme deux fois moins et est plus maniable. »
Un Manitou vert
« Nous utilisons le gros chariot télescopique pour poser des bardages ou monter de petites structures en acier. Nous examinons toujours bien notre planning pour savoir où nous allons le déployer. Il ne rentre pas souvent au bercail. C’est vraiment une machine polyvalente et nous utilisons différents accessoires : un panier, un treuil et des fourches. C’est le treuil que nous utilisons le plus, tout comme le panier qui peut être élargi jusqu’à cinq mètres et constitue une énorme plus-value lors des travaux de bardage. »
Notons que le MRT 2150 P+ ne présente pas la couleur rouge classique de Manitou, mais plutôt une livrée verte. Olivier : « La machine est arrivée il y a deux ans. C’est la toute première à avoir adopté les couleurs de l’entreprise. Cela nous a coûté un peu d’argent, mais cela constitue vraiment une valeur ajoutée pour nous. Guère encombrant, le télescopique est idéal pour les endroits exigus. Cinq chauffeurs l’utilisent. L’avantage est en outre que l’engin est relativement simple à utiliser. Un défaut est peut-être que le treuil est assez lent. Nous y avons même monté un coffre de rangement pour les plaques de calage et les chaînes. »
Les nacelles sont vraiment utilisées pour tout, du bardage aux travaux de couverture. « Elles offrent en fait tout ce dont nous avons besoin. Pour les chantiers très spéciaux, nous louons parfois un engin spécifique, mais les 180 se montrent très maniables et montent suffisamment haut sur les chantiers courants. »
